Depuis plusieurs décennies, le sort de la bande de Gaza et du peuple palestinien semble être le produit d’une stratégie planifiée dans l’ombre. Tout ce qui se passe aujourd’hui à Gaza n’est ni le fruit du hasard, ni de simples tensions régionales. Il est clair que les sionistes ont longuement réfléchi à chaque action, chaque manœuvre, afin d’accomplir leur objectif : la destruction systématique de Gaza et le massacre du peuple palestinien.
La première étape de ce plan semble avoir été la guerre en Ukraine. Ce conflit, qui a capté l’attention du monde entier, n’est pas qu’un simple affrontement entre deux pays. Il a été utilisé comme un outil stratégique pour détourner l’attention des puissances qui auraient pu intervenir et stopper l’escalade des violences à Gaza, en particulier la Russie. En effet, la Russie, avec ses alliés du Moyen-Orient tels que la Syrie et le Liban, était l’un des rares acteurs capables de contrer la domination israélienne dans la région. En la maintenant occupée dans un conflit prolongé en Ukraine, les États-Unis et leurs alliés sionistes se sont assurés que la Russie ne pourrait pas se concentrer sur Gaza.
Les États-Unis, traditionnellement alliés d’Israël, jouent un rôle crucial dans cette stratégie. Leur soutien militaire, diplomatique et économique à Israël est bien connu. Mais au-delà de cela, ils orchestrent également des conflits régionaux, tels que celui en Ukraine, pour s’assurer que les autres puissances restent engagées ailleurs. Pendant ce temps, Israël peut mener ses opérations en toute impunité, avec une couverture internationale limitée et peu de conséquences.
Mais la situation ne s’arrête pas là. D’autres acteurs mondiaux semblent également impliqués, directement ou indirectement. Un silence assourdissant règne du côté de la Chine, une puissance mondiale pourtant influente. Pourquoi cette inaction face à la tragédie qui se déroule à Gaza ? Est-ce une question de priorités économiques et politiques ? Les intérêts commerciaux de la Chine avec les États-Unis ou Israël pourraient-ils jouer un rôle dans cette indifférence apparente ? Ces questions restent en suspens, mais elles soulèvent des doutes sur la position réelle de la Chine sur cette question brûlante.
Dans ce contexte, de nombreuses nations du monde arabe, pourtant historiquement alliées de la cause palestinienne, restent étonnamment silencieuses ou passives. Leurs gouvernements semblent éviter toute confrontation directe avec Israël ou les puissances occidentales, préférant peut-être préserver leurs intérêts nationaux plutôt que de prendre position. Mais cette inaction suscite la frustration et l’indignation des populations qui, elles, restent largement solidaires de Gaza.
Ce plan géopolitique bien huilé semble s’étendre sur plusieurs fronts : diplomatique, militaire, médiatique et économique. Chaque acteur a son rôle à jouer dans cette grande partie d’échecs. Mais ce sont les civils innocents qui en paient le prix le plus lourd. Le monde doit ouvrir les yeux sur cette situation et reconnaître qu’il ne s’agit pas simplement d’un conflit régional isolé, mais bien d’un plan plus large visant à remodeler l’équilibre des pouvoirs au Moyen-Orient.
En conclusion, tout semble avoir été calculé. La Russie est empêtrée dans l’Ukraine, les États-Unis soutiennent Israël sans relâche, et la Chine reste mystérieusement silencieuse. Pendant ce temps, les Palestiniens continuent de subir des pertes immenses, à la fois humaines et matérielles. Nous devons être vigilants et rester informés, car ce qui se passe aujourd’hui à Gaza pourrait bien façonner l’avenir de la région et du monde entier.
